le recul des glaciers


Introduction

 

Le recul des glaciers depuis 1850, ou plutôt le «recul du front des glaciers», est mondial et rapide ; il affecte l'accès à l'eau douce pour l'irrigation et pour l'utilisation domestique, les loisirs de montagne, les animaux et les plantes qui dépendent de la fonte des glaciers, et à plus long terme, le niveau des océans. Les montagnes à mi-latitude telles que l'Himalaya, les Alpes, les montagnes Rocheuses, la chaînes des Cascades et les Andes méridionales, aussi bien que les sommets tropicaux isolés tels que le Kilimandjaro en Afrique, montrent des pertes glaciaires proportionnées qui sont parmi les plus grandes.

Le glacier Thwaites (Antarctique). Crédit photo NASA
Le glacier Thwaites (Antarctique). Crédit photo NASA

Les causes

 

Deux rapport d'évaluations montre en 1990 et 1995 que la température moyenne de la Terre a augmenté d'environ 0,5°C depuis la fin du XIXème siècle. L'eau des océans est plus chaude du coup elle occupe d'avantage de volume ce qui explique la montée de 10 à 20 cm du niveau des océans. Il y a un manque de neige et aussi des été plus chaud. Sur la même période, les température d'été étaient supérieures à la moyenne de celles du 20ème siècle, ce qui aurait dû conduire à un recul et une perte de volume des glaciers. La mer de glace s'est amincie de 4 à 5 mètre par an entre 2003 et 2012.

 

Les conséquences

 

Ce réchauffement semble attester par le recul des glaciers alpins, qui auraient perdu entre 1/5 et 1/3 de leur surface. La température moyenne estimée de la terre était pourtant inférieure que de 4 à 5°C à celle d'aujourd'hui, le Canada et l'Europe du Nord étaient recouverts d'une calotte glaciaire de 3 à 4 km d'épaisseur qui s'étendait jusqu’à l'Irlande, et l'océan, à 6°C, charriait des icebergs devant les côtes françaises. La fonte des glaciers s'accélère dans les années 2000. Jean-Marie Claret raconte que a une époque ils rajoutaient 15 à 20 marches par ans. Le recul des glaciers serait dû à une diminution de plus de 25 % des chûtes hivernales de neige.

 

 

Les solutions

 

C’est à l’homme de prendre les choses en mains puisqu’il est la cause et c’est à lui seul qu’appartient la responsabilité de réparer, en prenant toutes les mesures efficaces pour protéger l’environnement a fin d’éviter de graves changements climatiques surtout avant qu’il ne soit trop tard, en appliquant des lois, de nouvelles technologies et d’êtres vigilant dans ses diverses consommations afin que la terre suffise pour la vie de toutes les espèces animales et végétales qui existent.

 

 

Diego